La Vérité par les Poèmes

La Vie

Le jour s’endort, le soleil se meurt,

La nuit s’éveille, et la lune sourit.

Les yeux clos, assis en tailleur,

Je médite quant à la vie.

Les rochers dansent et la fleur rougit,

Les herbes douces se mettent à chanter,

Les  yeux mi-clos, les pieds croisés,

Je ne médite plus, mais je ris.

Le vent emporte les feuilles mortes,

L’eau s’écoule sous les vieux arbres,

Les yeux ouverts, toujours de marbre,

J’aperçois au loin l’au-delà qui m’ouvre ses portes

Les nuages se dispersent, la foudre  encore frémit,

Le ciel se vêtit de mauvais présages.

Les yeux mi-ouverts, levé du répit,

Je médite quant à la mort et à son visage.

                                                                                       Bouguerra Nour

A la vie, à la mort

A la vie, à la mort, peu importe tes épreuves, ce que tu essayes de surmonter,

Peu importe tes combats et te luttes, ce que tu veux  affronter,

Je serais toujours là, ici, à tes côtés,

Et jamais je n’imaginerai un jour t’abandonner.

Je t’en donne ma parole, parole d’un homme qui en a surmontée,

Pas celle d’un autre effronté

Qui te lâche au bout de quelques journées.

Dors, rêve, vis.

Si libre que tu sois, heureux je le serais.

Réjouis-toi, car tu n’es plus Alice, mais bien une merveille parmi les merveilles.

A la vie, à l’amour, jusqu’à ce que nos frêles corps s’endorment

Tu as pris mon cœur, maintenant prends ma main,

Nous partons pour une Eternité révolue, vers un monde inconnu.

                                                                                                                          Bouguerra Nour

Horace :              

 Camille, ô ma chère Curiace ! Moi qui me nomme Horace,

Je jure sur  tout mon honneur et sur mon éternelle audace,

Qu’au nom de notre amour, jamais, jamais je ne laisserai une affaire enfantine se dresser entre nous.

Mais jamais, jamais je ne laisserai ma sainte ville lâcher sur moi tout son courroux.

Ne puis-je pas vivre sans garder mon honneur pur et impuni ?

Vivre ou mourir pour une infime querelle qui nous laisse, des deux côtés, meurtris ?

Je t’écris, en ce moment même, et peut-être je ne fais que mentir car ma peine ne fait que croître.

Mais pour ce dur choix, écrire c’est me mentir, mais aussi me faire croire.

C'était un sujet d'exercice pour mon cours de français, je l'avoue :) . Mais puisqu'il a eu assez de succès dans mon collège j'ai penser à vous le faire passer. Alors n'hésitez pas à me donner votre avis, vos conseils et vos commentaire ! J'espère que ça vous plaira. Mais ce n'est qu'une stance de poésie. Je vous montrerai une de mes poésies entière mais plus tard. Ne vous inquiétez pas je ferai meilleur! A plus tard les amis !